Voix ferrées

Une ligne ou deux pour signaler (id est faire honteusement de la pub) un autre blog (non, je n'oublie pas celui-là), sur deux-trois trucs que j'ai aperçus cet été en visitant les trains de l'est du continent européen.

Si l'envie vous en dit, rendez-vous ici.

Jours fériés (2) : ce que vous avez toujours rêvé d'ignorer.

Motivés pour lire un ramassis d'inutilités ?

...

Ah, les jours fériés.
Ces journées chômées attendues avec impatience, pour s'adjuger un repos bien mérité, s'offrir une excursion au sommet du coin ou simplement s'empiffrer de crêpes à la pâte à tartiner parfum noisettes avec ses petits-enfants...
Ces journées chômées attendues avec impatience qui trop souvent (en France, entre une et quatre fois par an, un peu plus de deux en moyenne) tombent le week-end, étant ainsi inexorablement inutiles...
Ces journées chômées attendues avec impatience, bien trop rares au goût des invétérés flemmards qu'apparemment nous sommes...


En France, ils sont au nombre de 11 [non, pas les invétérés flemmards], il y en a davantage dans certains pays, à l'instar de l'Argentine qui en compte 18 en 2013, y compris deux jours de février dédiés au Carnaval, et moins dans d'autres, 7 au Mali par exemple. En Europe, ce nombre varie de 8, aux Pays-Bas, à 15, à Chypre.

En parcourant quelques pages sur ce site, il semblerait qu'il y ait exactement autant de jours fériés en France que de jours n'étant fériés dans aucune région de la planète en 2013. Assez curieusement [et à moins que mes yeux me jouent des tours], aucun ne se trouve entre le 10 mars et le 22 août, deux sont début mars, les autres entre le 23 août et le 14 décembre.

Région, car il existe une poignée de jours, environ cinq, qui ne sont fériés dans la totalité d'aucun état, seulement localement. Par exemple le 20 novembre, Dia de la Consciênca Negra dans certaines régions brésiliennes, et Buß- und Bettag, le jour de la Repentance, une fête protestante, en Allemagne, où il n'est plus férié qu'en Saxe, après avoir subi le sort que l'on réservait ici au lundi de Pentecôte.



Grosso modo, comme dans le cas de la France, les jours fériés se divisent en trois catégories - fêtes religieuses, célébration/souvenir d'événements militaires/politiques et fêtes "sociales" [dans mon besoin absolument vital de classifier, je range la largement répandue fête du Travail dans cette boîte. A ce propos, dans de nombreux pays, y compris au Royaume-Uni et en Espagne, lorsque le 1er mai est un dimanche, c'est le 2 mai qui est férié. En fait ce système de report de jours fériés est présent un peu partout.].

La première catégorie est très largement influencé par les religions majoritaires du pays considéré, ou du moins les religions "historiques", comme vu dans le cas de la France. Illustrations en vrac.
Le 8 décembre, jour de l'Immaculée Conception, est ainsi férié dans plusieurs pays d'Amérique Latine, de même que le Corpus Christi, soixante jours après Pâques. En République Tchèque sont célébrés les apôtres des Slaves, Cyrille (celui de l'alphabet) et Méthode (pas celui de Cauet). Au Liban, coïncident des jours fériés d'inspiration chrétienne - l'Assomption, Pâques, l'Epiphanie - et musulmane - l'Aïd al-Fitr,  l'Aïd el-Adha, déjà évoquées, ou encore la célébration de l'Hégire ; la situation est assez analogue au Bénin et dans de nombreux pays africains. Au Brésil, le 12 octobre est chômé, en l'honneur de Notre-Dame d'Aparecida, Sainte Patronne du pays. En Inde, de très nombreuses fêtes religieuses sont célébrés régionalement, à l'instar du Makar Sankranti, une célébration hindoue de la récolte ayant également des ramifications astrologiques, le 14 janvier [également censé marquer l'arrivée du printemps, avec quelques mois d'avance sur l'Europe occidentale] mais aucune ne fait l'objet d'un jour férié national.

Dans le second tiroir se trouvent notamment des armistices - deux brèves remarques à ce sujet : le 8 mai est férié seulement en République Tchèque et en France [et encore... instauré sous la IVème République, supprimé par de Gaulle et rétabli par Mitterrand] alors qu'en Russie, une journée est fériée en l'honneur de la victoire, mais il s'agit du 9 mai, du fait du décalage horaire (qui n'est pourtant pas si conséquent que cela avec Moscou) - comme en Argentine où est commémorée la guerre des Malouines (ou des Falklands, selon votre bord), des célébrations d'indépendance - en Algérie, aux Etats-Unis, par exemple - de personnalités phares - l'anniversaire du Mahatma Gandhi, le 2 octobre, en Inde, ou le jour de Christophe Colomb, dans de nombreux états des Amériques - ou d'événements fondateurs : la Journée des Martyrs au Mali célèbre la chute du régime de Moussa Traoré qui maintint la pays sous une junte militaire jusqu'en 1991 ou la commémoration de la Bataille de Puebla au Mexique.
Très largement représentées sont les fêtes nationales - au Congo, elle tombe le jour de l'Assomption et en République Démocratique du Congo, elle est confondue avec la fête de l'Indépendance - telles Kenkoku Kinenbi, l'anniversaire de la fondation de l’État au Japon ou la Saint Patrick en Irlande.

La dernière case contient un peu tout et n'importe quoi, et les japonais font mieux que de la résistance passive dans cette catégorie : de Seijin no Hi, le jour d'accès à la majorité, à la célébration des équinoxes en passant par le jour de l'éducation physique, sans oublier le jour de la Mer, il y a là des sources d'inspirations pour les paresseux tout autour du globe.
Sont également fériés la Journée Internationale de la femme, le 8 mars, par exemple en Azerbaïdjan, où le 31 décembre est chômé en honneur à la diaspora azérie, le 9 mars au Liban pour la Journée des Professeurs, le 21 mars, journée des Droits de l'Homme en Afrique du Sud, le 8 février, jour de la culture en Slovénie, Prešernov dan, en l'honneur du poète romantique France Prešeren, ou le jour des Paysans, au cours duquel les agriculteurs reçoivent la bénédiction du trône, en Thaïlande - de nombreuses fêtes bouddhistes y sont célébrées et auraient pu être plus haut citées.



Grande est la tentation à ce point d'affirmer que d'observer la liste de ses jours fériés vous en apprendra davantage à propos d'un pays que bien des cours d'histoire, tels sont les indices politiques, culturels ou religieux qui s'y trouvent, quand ils ne vous livrent pas les noms des plus éminentes personnalités. Profitez-en avant qu'ils ne disparaissent tous pour des raisons économiques [les jours fériés, pas les livres] !



[Il va de soi que l'exhaustivité sur un tel sujet relève d'une ébahissante chimère (les jours fériés anglais sont assez intéressants). D'autant plus que contre toute sagesse, je me suis un peu dépêchée de boucler cet article. Je vous serais dont fort gré de bien vouloir m'excuser pour tout oubli de mots ou faute de frappe (que je ne peux que vous inciter à me signaler !).]

[Après relecture, les énumérations avec des exemples au milieu sont très proche de la totale illisibilité. Désolée.]

Jours fériés (1) : de la fréquence des aqueducs.

Les huitièmes et neuvièmes jours du mois de mai de l'an grâce deux mille treize, un mercredi et un jeudi, sont à marquer d'une éclatante pierre blanche pour les paresseux (non, pas les singes !) qui sommeillent en nous ou ceux qui se languissent simplement d'un peu de repos ou d'un moment d'évasion (une expédition sur l'autoroute locale par exemple).

Il s'agit en effet de deux jours fériés consécutifs (deux jours ouvrés feriés consécutifs avant qu'un petit malin ne fasse erronément remarquer le dimanche et le lundi pascaux. Les dimanches ne sont généralement pas considérés comme des jours fériés.), ce qui est une occurrence assez peu fréquente, dans la patrie de tous un tas de monarques et tyrans absolus (à ce propos, saviez-vous que durant le Premier et le Second Empire, le 15 août était également fêtée la Saint-Napoléon ? Moi non plus.), supposément hexagonal, qui est apparemment la mienne.


En France métropolitaine, à l'exception de l'Alsace et la Moselle où le Vendredi Saint et le 26 décembre (ruinant ainsi toute la démonstration qui suit ! Ils sont fous ces alsaciens !) s'ajoutent à la liste, sont fériés par ordre approximatif ( id est à une ou deux permutations près) le 1er janvier (généralement le premier jour férié de l'année), le lundi de Pâques, le 1er et le 8 mai, le jeudi de l'Ascension, le lundi de Pentecôte (selon les années et les entreprises), le 14 juillet, le 15 août (peu connu des écoliers, étrangement), le 1er et le 11 novembre et le 25 décembre, ce qui fait onze journées chômées.

La majorité, six d'entre eux, ont une origine religieuse (même si nombre de laïcs en profitent volontiers) - le 15 août étant le jour de l'Assomption, la théorique montée au ciel de la Vierge Marie, le 25 décembre la date aléatoirement choisie pour célébrer la naissance de Jésus de Nazareth. Origine religieuse se limitant au christianisme (et encore, les protestants ne célèbrent ni la Toussaint, ni l'Assomption), religion "traditionnelle" en France, sans qu'aucune des fêtes juives ou musulmanes (à l'instar respectivement de la Pessa'h (la Pâque Juive) ou de Yom Kippour (le "Jour du Grand Pardon", le plus sacré du calendrier) pour le judaïsme, l'Aïd al-Fitr (marquant la fin du Ramadan) ou l'Aïd el-Adha (la "fête du sacrifice", commémorant les actions d'Abraham, prêt à sacrifier son fils qui est sauvé par l'intervention d'un ange [épisode par ailleurs également présent dans la tradition chrétienne])).

Les cinq restants se répartissent entre commémorations militaires - les armistices des deux conflits généralement connus sous la dénomination "Guerre mondiale", la fête nationale du 14 juillet, anniversaire d'une fameuse prise de la Bastille - et célébrations du nouvel an et du travail.

Trois sont mobiles, mais liés entre eux ; huit sont immobiles.
Il s'agit donc d'un système à un degré de liberté.


Le calcul de la date de Pâques a occupé les théologiens, savants, mathématiciens et curieux pendant des siècles, et reste aujourd'hui encore d'un obscurantisme ayant peu à envier aux plus sombres jours de l'Eglise.
Lors du concile de Nicée, en l'an 325 de notre ère (des siècles, que dis-je des siècles, des millénaires !), le dimanche de Pâques fut défini comme le dimanche suivant la première occurrence d'un quatorzième jour de lune à compter du 21 mars, date symbolisant l'équinoxe de printemps. Une fois la phrase précédente assimilée (en fait, c'est assez simple. L'expliquer, c'est une autre histoire.), la nécessité de compliqués algorithmes faisant intervenir de techniques paramètres - l'épacte, le nombre de jours à ajouter au calendrier lunaire pour obtenir le calendrier solaire ou le nombre d'or qui dépend du cycle de Méton, d'une approximative durée de dix-neuf ans - semble assez incompréhensible.

Le problème réside dans le fait qu'on ne considère pas la sphère que l'on aperçoit de tant à autre dans le ciel et sur laquelle le capitaine Haddock est allé faire un petit tour, mais une lune fictive, appelée lune ecclésiastique (et dont la trajectoire repose sur le susnommé cycle de Méton, qui postule qu'en dix-neuf années solaires il y a deux cents trente-cinq mois lunaires) qui établit un calendrier lunaire perpétuel.

Au final peu nous chaut les calculs atroces nécessaires au calcul de cette date.
Il en découle néanmoins que le dimanche de Pâques se situe systématiquement entre le 22 mars et le 25 avril, avec des fréquences variables. Ainsi il semblerait (d'après de courageuses personnes ayant tenu le compte) que depuis la fin du seizième siècle, Pâques soit tombé à 2 reprises un 24 mars et à 30 reprises un 16 avril.


Quelques additions permettent d'établir que l'Ascension (trente-neuf jours après Pâques) prend place entre le 30 avril et le 3 juin, et que le lundi de Pentecôte (onze jours plus tard) se promène quelque part entre le 11 mai et le 14 juin.

Par conséquent, les seules combinaisons permettant d'obtenir deux jours fériés consécutifs - respectivement confondus - sont celles où le jeudi de l'Ascension est un 30 avril, un 2 mai, un 7 mai ou un 9 mai - respectivement un 1er ou un 8 mai - (à moins que le nouvellement élu pape François ne décide de brutales modifications au sein du carcan ecclésiastique). De telles occurrences sont relativement rares mais loin d'être inexistantes : d'aucuns se souviennent peut-être qu'en 2008 le jeudi de l'Ascension fut un 1er mai et/ou que le 9 mai 2002 fut férié pour cette même raison.

A titre indicatif, entre 1901 et 2012, le jeudi de l'Ascension est tombé à cinq reprises un 9 mai, à quatre occasions un 8 mai, à trois reprises un 7 mai, deux fois un 1er mai, à une occurrence un 2 mai et jamais un 30 avril [aux erreurs de calculs près, ici comme dans certains des paragraphes précédents] ; en 112 ans, il y a eu deux jours fériés consécutifs (en tenant compte uniquement des jours fériés actuels) à 11 reprises, soit en moyenne une fois par décennie.


Et parce qu'il faut un mot de la fin, et que ce n'est pas la fin du monde, profitez bien de ces deux jours, surtout si le pont est vôtre !

Si seulement le bug de l'an 2000...

Avertissement : toute mise en scène présentant de vagues ressemblances avec une situation ayant existé ou qui existera un jour serait purement fortuite et relèverait d'une coïncidence que nul parmi les plus hardis spéculateurs ne saurait prédire.

Une après-midi comme une autre, dans une salle de classe surchauffée traversée par un glacial courant d'air, deux individus tentaient, de leur mieux, cela va de soi, de résoudre l'exercice proposé par leur charmant professeur. Au milieu d'une intense, cela coule de source, réflexion, un se tourna vers son acolyte et lui demanda d'une murmure à peine audible, cela semble évident, l'énoncé exact d'un résultat qui devait s'avérer fondamental dans la résolution de la question sur laquelle ils peinaient. Une réponse négative s'en suivit.

Quelques secondes plus tard, sans consulter le professeur ni aucun de leurs camarades de classes, et sans avoir subitement retrouver ce qu'ils n'auraient, cela est trivial, jamais dû oublier, ces deux individus disposaient du précieux énoncé.


Cet exemple bidon illustre de manière assez spectaculaire même si foncièrement inutile les possibilités que l'apparition de nouveaux outils numériques ouvrent pour les élèves d'aujourd'hui.
Ces dernières années ont vu l'apparition d'outils concrets - les ordinateurs, les tableaux numériques - tant que virtuels - Internet, notamment - qui ont poussé/poussent/vont pousser à une modification de l'éducation.

Ces dernières années ont fleuri profusément les séances de travail sur ordinateur, des travaux pratiques sur logiciels informatiques aux séances de TPE (travail personnel encadré) dans le cadre du bac en passant par les séances dirigées sur des plateformes en ligne de partage d'exercices interactifs. Les tableaux numériques ont fait leur apparition quand les vidéoprojecteurs ont supplanté les devenus obsolètes rétro-projecteurs et sont fréquemment utilisés pour projeter des présentations ou diaporamas, voire des vidéos provenant de Youtube, durant des cours de langue, par exemple [il se pourrait que les susnommés professeurs de langue ne puissent plus dans un futur proche être caractérisés par leur incapacité chronique à utiliser correctement un magnétoscope !].

Dans une optique différente, les environnements numériques de travail, nom de code ENT, se généralisent peu à peu, la présence sporadique dans des établissements tests s'étendant à la plupart des établissements. Ayant comme objectif avoué de faciliter les relations entre parents, élèves et enseignants, ils permettent la visualisation des notes, de l'agenda de la classe, de cours voire la remise de devoirs.

Notons au passage que disposer d'un ordinateur, de certains logiciels de bureautique (dont on trouve certes des équivalents libres, mais dont l'installation rapide n'est pas toujours accessible au premier venu), d'une imprimante et d'une connexion internet munie d'un débit non négligeable semble de plus en plus indispensable au vu des travaux à la maison demandés par les professeurs, recherches sur un certains sites, consultation de mails ou d'un ENT pour vérifier/récupérer certains horaires/devoirs.
Bien que la plupart des foyers en soit fourni, ce n'est pas toujours le cas et peut s'avérer fort pénalisant pour certains.



Par ailleurs, il devient de plus en plus fréquent de voir des enseignants distribués des cours polycopiés (voire de demander à leurs élèves de les imprimer par eux-mêmes), parfois avec quelques misérables trous dans lesquels les élèves doivent écrire un ou deux mots ou recopier une démonstration. Ce qui amène (outre à constater la flemmingite aigüe [histoire d'avoir casé une fois cette expression] touchant certains enseignants) à se demander à quel point ces nouveaux outils, qui semblent, exception faite des professeurs qui écrivent encore à la main les sujets de devoir surveillé, généralement avoir été embrassés par le système éducatif, sont réellement utiles.

Leur cours déjà imprimé, la concentration des élèves face au professeur ne va probablement pas aller en augmentant - ce qu'il déblatère est déjà écrit sous leurs yeux - et c'est en écoutant et en écrivant que l'on assimile certainement le mieux. En forçant un peu abusivement le trait, on pourrait presque en arriver à remettre en question l'intérêt de la présence du professeur...

Il est certains domaines dont la nécessité de ces nouvelles technologies est indéniable, notamment parce elles y sont devenues centrales, à l'instar des statistiques, de l'économie, de la gestion, de l'architecture ou de... l'informatique. En fait, rares sont les activités du secteur tertiaire où elles ne sont pas omniprésentes.



Un ordinateur, et un accès internet, est de facto devenu un outil presque indispensable pour les étudiants aujourd'hui : on trouve ainsi annales, archives, forum pour demander de l'aide, et, dans nombre de cas l'outil ultime, Wikipédia, bien moins erroné que l'on pourrait le croire dans de nombreux cas.

Certains prennent leur cours directement sur leur ordinateur portable, d'autres utilisent leur smartphone pour obtenir la définition du dernier mot un peu trop élaboré employé par le professeur de philosophie.
Cependant, d'autres usages moins louables peuvent se répandre : utiliser la méthode précédente à des fins illégales, pour tricher lors d'examens par exemple, ou passer ses cours à lire des fanfictions, à consulter ses mails et à parler avec des psychopathes rencontrés sur un site internet douteux...


Eduquer avec ces nouveaux outils pour ne pas rester en marge d'une société en perpétuelle évolution est une nécessité, éduquer à l'utilisation de ces nouveaux outils semble un impératif comparable.

[D'où l'existence de certifications informatiques - proposées dès le collège, avec le fameux (et peut-être désuet) B2I et jusqu'aux formations d'enseignement avec le moins fameux (mais tout aussi fastidieux) C2I2E - parfois peu adaptées.]



Tout seulement n'est qu'une goutte d'eau dans l'océan de bouleversements des relations humaines né de cette évolution technologique qui semble graduellement s'emballer. Après tout, saurons-nous encore parler dans 27 ans 54 jours 8 heures 39 minutes et 6 secondes ?


Si seulement le bug de l'an 2000...